« Par chance je n'ai jamais eu peur des animaux. »
« Histoires pédées » est une collection littéraire, érotique et joyeuse du collectif Pou.
Guillaume Marie est un garçon souriant mais taciturne, d'ailleurs il est né à Coutances. Il écrit des nouvelles et de la poésie depuis qu'il a douze ans. Il est inspiré par les animaux qu'il croise et les lieux qu'il habite. Dans ses textes, tout est vrai. Dernier livre paru : Ça écrit quoi, avec Samuel Deshayes, aux éditions Lanskine.
« Qu'est-ce que vous faites ? C'est Deslandes qui te répond : j'ai gagné un pari. Georges a un petit geste de sa main libre qui veut dire : je n'ai pas eu le choix. Deslandes te dit : viens. »
Une histoire pédée dont tu es le héros (livre-jeu interactif).
Alors qu'il pleut sur Paris, attablé devant une bière, qu'est-ce qu'on fait ? On regarde les gens passer et on se souvient des morts. En Pente douce est un poème en trente quatrains, écrit en 2016.
Les onze Muses du Grand siècle. Il existe de nombreuses biographies de femmes célèbres au XVIIe siècle, gravitant immanquablement autour de Versailles. Mais la présentation d'une galerie de onze portraits thématique, rassemblant à la fois de grandes dames de la spiritualité, de la vie culturelle et littéraire et de la politique, est une démarche originale et qui n'a pas d'équivalent. Alors que le thème de la femme est très largement abordé dans l'édition contemporaine, tous siècles confondus, sous l'angle de la condition féminine, le propos tenu par Marie-Joëlle Guillaume, spécialiste du XVIIe siècle, se décentre, voire se renverse : c'est la force de leur empreinte sur la civilisation du XVIIe siècle qui est mise en valeur. S'ajoutent aux portraits fameux des figures moins illustres mais tout aussi essentielles : Barbe Acarie, Louise de Marillac, Marie de l'Incarnation, Angélique Arnauld, Catherine de Rambouillet, Madeleine de Scudéry, Mme de Sévigné, Mme de Lafayette, duchesse de Longueville, Anne d'Autriche et Mme de Maintenon. Ils permettent une plongée concrète et très humaine dans les mentalités de l'époque, de Corneille à Port-Royal. Enfin, cet ouvrage enlevé offre une " défense et illustration " de la civilisation du Grand Siècle, dont l'appellation suggère l'excellence. Une excellence incarnée par des femmes d'élite qui en furent les actrices et les inspiratrices.
Cet abécédaire animalier, signé Guillaume Bianco et Marie Pommepuy, propose un voyage pour petits et grands enfants, entre lettrines illustrées et bandes dessinées.
Il ne s'agit pas d'un simple abécédaire... mais d'un ouvrage enrichi, qui stimule l'imaginaire. À chaque lettre de l'alphabet correspondent plusieurs mots contant un court récit aux tonalités communes aux deux auteurs (bizarrerie, humour et poésie). Plusieurs de ces lettres sont développées en histoires de bande dessinée oscillant entre 6 à 16 pages, tel le « L » de la « Limace » dont l'apparence se révèle trompeuse. En fin d'ouvrage, un glossaire ludique lève le voile sur des mots rares ou mal connus tandis qu'une magnifique illustration se déploie spectaculairement sur plusieurs volets.
LE saint du Siècle des SaintsLE saint du Siècle des Saints Petit paysan des Landes devenu prêtre, nommé précepteur dans l'illustre famille de Gondi après diverses aventures, Vincent de Paul, né en 1581, découvre à trente-six ans la vocation de sa vie : servir les pauvres. Aumônier général des galères du roi à partir de 1618, il fonde en 1625 la congrégation de la Mission, afin d'évangéliser et soigner le peuple des campagnes, et former des prêtres pour cette tâche. En 1632, il se voit offrir avec sa communauté le prieuré de Saint-Lazare à Paris. Les lazaristes étaient nés. Leur ordre allait devenir un refuge pour des milliers de démunis et un centre de rayonnement spirituel considérable.
Peu à peu, Vincent de Paul s'affirme comme la conscience de son temps. Avec Louise de Marillac, supérieure des Filles de la Charité, il suscite l'engagement et la générosité des femmes de la haute société, lutte sur le terrain contre les horreurs de la guerre de Trente Ans, institue à Paris l'oeuvre des Enfants trouvés. Par sa présence, de 1643 à 1652, au Conseil de conscience de la reine Anne d'Autriche, celui qui fait jeu égal avec les grandes figures de la Contre-Réforme catholique, François de Sales, Bérulle, Olier, influera aussi sur les affaires de l'Etat et s'engagera contre le jansénisme. Les années 1650 le voient jouer un rôle décisif dans le développement des missions étrangères. Il meurt en 1660 et sera canonisé moins d'un siècle plus tard.
Homme de prière, homme d'action, meneur d'hommes, témoin auprès des grands des exigences de la conscience, l'humble paysan gascon est devenu une grande figure de notre histoire.
Cette fois, elle a pris un aller simple. Paris-Sète aller simple. Elle a tout quitté, sa ville, ses amis, tout ce qu'elle avait construit – rien de fabuleux, pas de quoi convoquer la presse, mais c'était sa vie. Et ça vous chamboule le cœur, de tout quitter. Ça vous éparpille, ça vous charcute, ça vous barbouille. Ça vous divise, aussi. Il y a
avant et
après, comme sur ces photos censées promouvoir un truc miracle qui vous améliore l'ordinaire. Alors, il y a
Elle, qui s'agite en noir et blanc dans les trente-six mille vies de sa lointaine jeunesse, et moi, aujourd'hui larguée sur une plage d'hiver. C'est beau, la mer, on ne revient pas là-dessus – même si une grande flaque sans âme n'a aucune chance de rivaliser avec une toile de Nicolas de Staël. Mais que faire d'une beauté étrangère à soi ? Que faire de ce mirage, une nouvelle vie ?
Avec
Pars, s'il le faut, Marie-Ange Guillaume explore avec son talent inimitable les errances d'une vie, territoire infini où chaque coup de griffe laisse vite la place à une profonde tendresse, et chaque trait d'humour (partout présent) à une réflexion complice, pleine d'émotion et de mélancolie.
Douze prélats qui ont marqué l'histoire de France. La nature et l'évolution des relations entre le Trône et l'Autel, l'Église et l'État sous l'Ancien Régime sont difficiles à comprendre pour nos contemporains. De même que les conflits religieux qui l'émaillent - guerres de Religion, jansénisme, quiétisme... - et qui ont de multiples implications au plus haut sommet de l'État. Marie-Joëlle Guillaume en livre les arcanes par le biais des portraits de douze grands prélats français, du règne d'Henri III à celui de Louis XVI.
Pierre de Gondi, François de La Rochefoucauld, Pierre de Bérulle, Richelieu, Bossuet, Fénelon, Valentin-Esprit Fléchier, Louis-Antoine de Noailles, Jean-Baptiste Massillon, André-Hercule de Fleury, Christophe de Beaumont et François-Joachim de Bernis : hommes d'État, hommes d'action, noms illustres des Lettres françaises ou prédicateurs en vue, tous sont de grandes âmes aux prises avec de grands débats. La présentation fouillée de leurs fortes personnalités, l'explication de leurs oeuvres et de leurs actions conduisent à une plongée passionnante dans les XVIIe et XVIIIe siècles. Alliant la rigueur de l'historien à la limpidité du style, Marie-Joëlle Guillaume éclaire un pan encore largement méconnu de l'histoire politique et religieuse de la France moderne.
Charles Cuenin a ressenti très tôt l'appel à la mission. Dès son ordination sacerdotale, en 1964, il part au Togo, pays qu'il apprend à connaître et à aimer. Fondateur de la paroisse Notre-Dame-de-la-Visitation dans la ville de Sokodé, en 1971, Charles se met à visiter la prison, où il introduit la prière. Convaincu que chaque personne humaine est habitée par une potentialité qui lui permette de se relever, il fonde, en 1989, le Village Renaissance pour les ex-prisonniers récidivistes, l'oeuvre de sa vie.
De son enfance, elle a tout oublié sauf la peur et l'ennui coriace. De ses vingt ans, elle a tout oublié sauf son absence au monde. Elle a même oublié Césarée, la ville en ruine qu'elle déclarait " inoubliable " dans une lettre envoyée à sa mère. Elle a juste retenu le vers de Racine, " Je demeurai longtemps errant dans Césarée ". Heureusement, sa mère a écrit un journal où elle raconte ce qu'elles ont vécu ensemble, avec et sans le père. Sa mémoire c'était sa mère, et elle vient de la perdre – la mère, le jardin, la maison. Elle vient de vider la maison, dans le chagrin et la colère. " Ma mère, c'était après moi le déluge. J'entasse au grenier un bordel monstre, tu te taperas un jour le remake du nettoyage des écuries d'Augias, mais je ne serai pas là pour le voir. " Heureusement, il y a les copains, qui la baladent du chagrin au rire, et c'est toujours le rire qui la sauve. Alors, armée du récit maternel, des photos d'époque et de ses trous de mémoire, elle s'attaque au puzzle, elle reconstruit la vie de sa mère et la sienne, quitte à les trafiquer – peu importe, une vérité mouvante et floue arrive à surnager. Et maintenant, elle aime sa mère. Avec Aucun souvenir de Césarée, Marie-Ange Guillaume signe un texte poignant où, au-delà de l'humour et de la colère, affleure une tendresse immense. Une adresse à sa mère, à toutes les mères, qui touche le lecteur en plein cœur.
Par pur esprit de vengeance, ce livre traite des nuisances. Pas les nuisances graves, comme la guerre, la mort et les avions qui se cassent la gueule. Non, juste les irritations, les furoncles, les gâchis d'humeur, les casse-couilles en tout genre, les hotlines, la feuille de laitue décorative piégée dans la sauce, les paperasses et les télécommandes, le principe de précaution, le garçon de café qui met trois plombes à noter votre présence, la housse de couette récalcitrante, la langue de bois, les chasseurs d'éléphants, la vieille dame à qui vous cédez votre place dans le bus et qui vous pompe l'air tout le reste du trajet. Bref, tout ce qui arrive à vous zigouiller une journée qui commençait si bien.
Décryptez Le Jour du chien de Caroline Lamarche avec l'analyse du PetitLitteraire.fr !
Que faut-il retenir du Jour du chien, le roman aux six récits qui a bouleversé les lecteurs ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir sur cette oeuvre dans une analyse complète et détaillée.
Vous trouverez notamment dans cette fiche :
o Un résumé complet
o Une présentation des personnages principaux tels que le camionneur, l'abbé Jean, la femme qui veut rompre, Phil, la mère et Anne
o Une analyse des spécificités de l'oeuvre : "Un roman choral", "Révélation personnelle et commune", "La thématique de l'abandon" et "Au-delà des apparences"
Une analyse de référence pour comprendre rapidement le sens de l'oeuvre.
LE MOT DE L'ÉDITEUR :
« Dans cette nouvelle édition de notre analyse du Jour du chien (2017), avec Vincent Guillaume et Marie-Sophie Wauquez, nous fournissons des pistes pour décoder ce roman à six voix centré sur le thème de l'abandon. Notre analyse permet de faire rapidement le tour de l'oeuvre et d'aller au-delà des clichés. » Stéphanie FELTEN
À propos de la collection LePetitLitteraire.fr :
Plébiscité tant par les passionnés de littérature que par les lycéens, LePetitLittéraire.fr est considéré comme une référence en matière d'analyse d'oeuvres classiques et contemporaines. Nos analyses, disponibles au format papier et numérique, ont été conçues pour guider les lecteurs à travers la littérature. Nos auteurs combinent théories, citations, anecdotes et commentaires pour vous faire découvrir et redécouvrir les plus grandes oeuvres littéraires.
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Pierre angulaire des Mémoires, du journal ou du récit de voyage, le témoignage est sous l'Ancien Régime au fondement de la vérité historique; il est également la forme de la fiction lorsqu'elle cherche à se garantir par l'autorité d'un témoin. Aussi le témoignage est-il un élément du pacte de lecture de textes qui prétendent être crus. Le témoin cependant ne peut tout voir et cela lui prescrit une première frontière : celle du ouï-dire. Son caractère fragmentaire d'autre part, sa paucité, voire son absence pour une époque donnée forme une seconde frontière : celle de la tradition. Enfin, il jouxte la fiction dans les récits de voyages, les chroniques scandaleuses, les romans à la première personne, et voit par là son périmètre fondu dans l'imagination. Nous explorons ces frontières dans des contributions portant sur la littérature factuelle, les débats théoriques et diverses oeuvres de fiction.
Le minuscule dans le journal : tel est l'objet d'étude de ce numéro consacré aux petits genres journalistiques dans la presse française des années 1830 jusqu'au lendemain de la Première Guerre mondiale. Épigrammes, bigarrures, histoires drôles, résumés sportifs et bien d'autres sont analysés dans leur capacité à se glisser dans la matière du journal et à en détourner la mission d'information. La « petite presse » de la monarchie de Juillet et du Second Empire est à l'honneur (Figaro, Le Charivari, Le Tintamarre), ainsi que les grands quotidiens de la Belle Époque, traversés par l'éclat de rire des « chroniquettes » et autres « nouvelles à la main » dont Alphonse Allais et Jules Renard sont les maîtres. Évaluant certaines conséquences littéraires de cette poétique du détail, notamment sur le poème en prose, sur la chronique et sur la naissance du reportage, les articles ici réunis réfléchissent à l'histoire morcelée qu'écrit le XIXe siècle médiatique.
Qu'est renaître après l'enfer, médical et humain ? Ce recueil est composé d'extraits d'un journal poétique qui fut et est « Voie » de rédemption. Il se veut également un hommage à ceux, si précieux et rares, qui ont étançonné le peu qui restait de vie, ou de son désir.
Cette nouvelle parution d'ESPACE présente un dossier sur le diorama tel qu'il s'expose en art contemporain. Vu l'importance du phénomène, son actualité et l'usage terminologique du diorama qui est maintenant courant, la revue nous propose d'interroger les liens qu'il entretient avec le diorama populaire et muséal, ce qui l'en distingue et quel est la portée de cette récupération. Les oeuvres de Xu Zhen, Dominique Gonzalez-Foerster, Kent Monkman et Vicky Sabourin sont notamment à l'étude. Hors dossier, les comptes-rendus de Generation - 25 Years of Contemporary Art in Scotland, de l'exposition 399 days de Rachel Kneebone, de la rétrospective Niki de Saint-Phalle et de la de la Biennale nationale de sculpture contemporaine de Trois-Rivières, entre autres.
C'est sans préméditation que les textes du présent numéro s'articulent autour d'un pôle d'attraction qui leur confère une certaine unité malgré leur grande diversité. Ainsi, le voyage initiatique, la transmutation et le déplacement identitaire sont présents dans les récits de Louis Hamelin et de Roland Bourneuf, sensibles dans les réflexions poétiques de Dominguo Cisneros, Guillaume Asselin, Roger Des Roches ou Cédric Demangeot ainsi que dans les proses de Marie Cosnay, Emmanuel Kattan et Jean-Claude Brochu, pour ne nommer que ceux-ci. La revue propose aussi un hommage à Robert Lepage en publiant son discours d'acceptation de la Médaille de l'Académie des lettres du Québec reçue l'automne dernier, texte précédé d'une synthèse de son oeuvre par André Ricard, directeur adjoint de la revue.
Cherchant à comprendre de quelle façon l'art des sons est mis en relation avec les sciences, ce numéro de Circuit, musiques contemporaines tente de saisir comment les buts et les processus de la recherche musicale diffèrent de ceux de la recherche scientifique d'une part, et de ceux de la création musicale de l'autre. Le principal enjeu est d'entrevoir comment le centre de recherche, aujourd'hui, constitue un espace de communication et d'interaction entre les disciplines. Hors dossier, entre autres : une analyse de l'oeuvre Baobabs (2012) du compositeur Robert Normandeau, un compte-rendu critique du livre Éblouissement : Gilles Tremblay et la musique contemporaine de Robert Richard et des illustrations des installations d'Andrée-Anne Dupuis Bourret, artiste en arts visuels et médiatiques.
Pour son plus récent numéro, la revue Cinémas propose un dossier sur l'éclatement du cinéma, ses formes et la théorie. Le cinéma se disperse sur différents supports, mais il se transforme aussi en autre chose, encore indéterminée. Un travail sur les définitions s'impose. Pour saisir théoriquement certains bouleversements récents en s'appuyant sur des concepts forts qui peuvent nous éclairer, chaque auteur de ce dossier propose une notion clé pour observer tant ce qui demeure du cinéma que ce qui change. Penser l'éclatement, ce n'est pas penser une « essence » (une ontologie), même élastique, du cinéma, mais bien s'intéresser aux lignes de fracture elles-mêmes, aux distinctions et aux articulations conceptuelles qu'elles manifestent. Il s'agit de discerner certains phénomènes contemporains tout en affinant les concepts qui permettent de parler de cinéma, quitte à réexaminer certaines définitions acquises ou « organiques », au sens où elles étaient liées à un état précédent du cinéma. (source : Cinémas)
Ce numéro de fin d'année de Séquences met en couverture Pays. Pour ce deuxième long-métrage très attendu, Chloé Robichaud s'intéresse à l'univers de la politique et à l'affirmation de soi dans la différence. Également en entrevue, Mathieu Denis et Simon Lavoie, duo derrière le film-choc Ceux qui font les révolutions à moitié n'ont fait que se creuser un tombeau, qui discutent engagement politique et héritage du printemps érable. La sortie du plus récent opus de Jim Jasmusch, Paterson, permet à Guillaume Potvin de revenir sur la filmographie de l'un des rois du indie américain. Côté documentaire, gros plan sur le film-événement Fuocoamare, par-delà Lampedusa de Gianfranco Rosi, Ours d'or à Berlin, qui décrit la catastrophe humanitaire des migrants en Europe. La section hommage s'attache à Héctor Babenco et André Melançon, entre autres récents disparus. Un retour sur la dernière édition de Fantasia et un point sur les Rencontres de Coproduction Francophone 2016 dans le cadre de Cinemania avec Guilhem Caillard, directeur général du festival, complètent le numéro.
Ce numéro de la revue Voix et images présente un dossier sur les liens entre littérature, médias et discours culturel et plus particulièrement les rapports entre la littérature québécoise et les médias radiophoniques et télévisuels. Les contributions se déploient selon trois principaux axes : l'étude de cas, la réflexion sur l'importance de la prise en compte d'archives audiovisuelles pour saisir globalement une oeuvre et l'analyse de la position de la critique littéraire à la télévision et à la radio. Ainsi, Lucie Robert s'intéresse à l'émission radiophonique Nouveautés dramatiques réalisée par Guy Beaulne conçue comme un laboratoire de création. Caroline Loranger réalise une étude de cas de Rue principale, d'abord radioroman, puis feuilleton, puis volume et Guillaume Bellehumeur, une de l'oeuvre du poète Patrick Staram et de ses archives audiovisuelles. Le dossier se clôt par une typologie des différents formats médiatiques adoptés par la critique littéraire de 1955 à 1965, colligée par Karine Cellard.
« Jean-Marie Guillaume est un écrivain. Il y a très peu d'écrivains (bien qu'il y ait beaucoup de gens qui écrivent - bien - et qu'on publie). Il est très rare d'assister à la naissance d'un écrivain, c'est le privilège de ceux qui liront ce livre. Ils assistent à une aurore boréale. Je ne crois pas me tromper. » Jacques Laurent
Cet ouvrage est une réédition numérique d'un livre paru au XXe siècle, désormais indisponible dans son format d'origine.
« Jean-Marie Guillaume est un écrivain. Il y a très peu d'écrivains (bien qu'il y ait beaucoup de gens qui écrivent - bien - et qu'on publie). Il est très rare d'assister à la naissance d'un écrivain, c'est le privilège de ceux qui liront ce livre. Ils assistent à une aurore boréale. Je ne crois pas me tromper. » Jacques Laurent