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Prix
Francois Ouellet
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Journalisme et littérature dans la gauche des années 1930
Anne Mathieu, François Ouellet
- Presses universitaires de Rennes
- 12 Décembre 2014
- 9782753539822
Difficile dans les années trente de séparer l'art de l'engagement. Si la gauche est d'abord communiste, où elle exerce son influence par l'entremise de l'AEAR, de la revue Commune et des Éditions Sociales Internationales, elle est néanmoins plurielle, et sa diversité est riche. Des socialistes « orthodoxes » de la SFIO à son aile gauche, en passant par les trotskystes, des syndicalistes révolutionnaires aux pacifistes en passant par les différentes « tendances » du mouvement anarchiste, d'autres intellectuels réfléchissent sur la culture, sur la littérature, se battent contre le fascisme.
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Jean Prévost le multiple
Emmanuel Bluteau, François Ouellet
- Presses universitaires de Rennes
- 15 Octobre 2015
- 9782753548275
Soixante-dix ans après sa mort, une relecture attentive de l'oeuvre de Jean Prévost - forte d'une trentaine d'ouvrages et de plus d'un millier d'articles -, inachevée par le fait des circonstances, ouvre de nouvelles perspectives. Prévost aimait réfléchir, étudier, comprendre, résoudre. Bien penser était pour lui un métier, voire une vocation.
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L'espace signifiant du texte : Métaphore paternelle et significations collatérales
François Ouellet
- Les Presses de l'Université de Montréal
- Espace littéraire
- 17 Février 2025
- 9782760651913
Depuis plus de vingt ans, François Ouellet poursuit une réflexion sur la représentation littéraire du père. Pour lui, au-delà des différences de sensibilité et de style, toute oeuvre reste indissociable d'un patriarcat historique qui, pendant très longtemps, et pour le meilleur et pour le pire, a structuré le monde moderne.
Le présent ouvrage propose une approche textualiste de cette question complexe, montrant comment elle s'articule dans l'imaginaire fictionnel d'un ensemble d'oeuvres romanesques. C'est à l'intérieur de cet espace textuel du patriarcat que se donnent à lire ici des romans d'Émile Zola, Laure Conan, Rachilde, Paul Morand, Robert Charbonneau, René Barjavel, Gabrielle Poulin, Gilles Marcotte, Hervé Bouchard, Olivier Frébourg, Louis Hamelin et Hélène Lenoir. La rigueur et la clarté de la démonstration rendent cet ouvrage accessible à tous les passionnés de littérature, qui de celle-ci pourront approfondir leur compréhension, ses motifs et ses enjeux. -
Études littéraires. Vol. 44 No. 2, Été 2013
François Ouellet, Veronique Trottier, Alexis Buffet, Maria chiara Gnocchi, Bruno Curatolo, Cyril Piroux, P Lecoeur
- Département des littératures de l´Université Laval
- 12 Octobre 2016
- 9782920949522
Au tournant des années 1930, en cette période d'entre-deux-guerres où le pouvoir du peuple s'était accru politiquement et économiquement, la représentation littéraire des classes populaires, lorsqu'elle n'était pas empreinte de clichés, cadrait peu avec la
réalité sociale du peuple. En réaction à la littérature bourgeoise, Léon Lemonnier
publia, en 1930, le Manifeste du roman populiste, texte fondateur du mouvement
populiste dont l'ambition, apolitique, était de « faire vrai », de peindre la vie du peuple
et d'étudier attentivement la réalité.
Si le populisme connut une importance indéniable au cours des années 1930, il figure
pourtant aujourd'hui au nombre des chapitres oubliés de l'histoire littéraire.
L'acception « large » du terme populisme, tel qu'il a été défini dans le Manifeste, et la
négation initiale du populisme comme école littéraire, ont dû nuire à la postérité du
mouvement. Avec pour objectif de documenter le mouvement populiste, ses
conditions d'écriture et ses présupposés esthétiques, ce volume d'Études littéraires vous propose un ensemble d'articles sur l'oeuvre fort méconnue de romanciers dits
populistes. -
Voix et Images. Vol. 41 No. 1, Automne 2015
Michel Nareau, Jacques Pelletier, Louis Hamelin, Julien Desrochers, Jimmy Thibeault, Daniel Laforest, Francois Ouellet
- Université du Québec à Montréal
- Voix et Images
- 20 Novembre 2015
- 9782924587065
Le dossier de ce numéro, dirigé par Michel Nareau et Jacques Pelletier, et comprenant des articles de Julien Desrochers, de Jimmy Thibeault, de Daniel Laforest, de François Ouellet et de Robert Dion, tente une première exploration collective de l'oeuvre foisonnante de Louis Hamelin. En plus de ces articles de fond, le dossier propose trois incontournables pour le chercheur en littérature contemporaine québécoise : un entretien avec l'auteur, un texte inédit et une bibliographie actualisée incluant tant l'oeuvre de Louis Hamelin que les articles qui en traitent. Aussi au sommaire de ce numéro, une étude de Louise-Hélène Filion sur la perception polémique de l'Autre dans Ça va aller de Catherine Mavrikakis et un essai de Jonathan Livernois à propos du livre de Jean Larose, Essais de littérature appliquée et de celui d'André Langevin, Cet étranger parmi nous.
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Nuit blanche, magazine littéraire. No. 152, Automne 2018
Suzanne Leclerc, Alain Lessard, Francois Ouellet, David Laporte, Gilles Pellerin, Catherine Voyer-Leger, Bruno Lemieux
- Nuit blanche, le magazine du livre
- 25 Octobre 2018
- 9782924611142
En couverture du numéro d'automne de la revue Nuit blanche, retrouvez la romancière et poétesse Judy Quinn dont le septième livre L'homme-canon vient de paraître. Bruno Lemieux l'a rencontrée. L'écrivain Renaud Longchamps, lui, poursuit sa réflexion sur la genèse de son oeuvre entamée dans le numéro précédent. La rubrique « Écrivains méconnus du XXe siècle » est consacrée à Panaït Istrati et celle sur les « Écrivains franco-canadiens » à Michel Ouellette. Puis, François Ouellet vous invite à découvrir Eudore Évanturel, poète canadien-français de la fin du XIXe siècle, un peu précurseur de Nelligan, un peu précurseur de la poésie moderne. Refroidi par la critique, il n'aura publié qu'un seul recueil, Premières poésies. 1876-1878. Enfin, retrouvez plusieurs critiques d'ouvrages récemment parus, une entrevue de Michèle Bernard avec Viveca Sten, prolifique autrice suédoise, anciennement avocate, et une discussion des écrits de la romancière Caroline Vu par Catherine Voyer-Léger.
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Tangence. No. 124, 2020
Isabelle Chol, Anne Reverseau, Karine Abadie, Carole Aurouet, Marie-claude Cherqui, François Ouellet, Fre Canovas
- Tangence - Tangence
- 24 Octobre 2024
- 9782925015192
La place des images dans la littérature, qu'elles soient descriptives ou métaphoriques, qu'elles fonctionnent comme figures ou comme thèmes, ou qu'elles influent sur la construction formelle, stylistique, voire matérielle du texte, n'est plus à démontrer ; les travaux récents de Philippe Hamon, de René Wetzel et Fabrice Flückiger, ou ceux de Christophe Martin témoignent d'un intérêt renouvelé pour la question et élargissent la réflexion en se penchant sur des oeuvres proposées à des époques antérieures à la seule modernité. Associées à la peinture, à la gravure, à la photographie ou au cinéma, les images fonctionnent dans les textes comme des embrayeurs de création tout en étant présentées comme sujets à investir afin de penser la littérature. Elles n'ont ainsi plus uniquement une place subordonnée au sein des textes ou une valeur pragmatique : l'écriture qui en est marquée et qui les accueille déploie une variété de considérations à leur propos et les met en relation avec d'autres formes d'art et d'autres techniques. Se développent ainsi autant de paroles s'arrogeant des modalités de figuration portant sur les relations à l'imaginaire ou à la culture, et témoignant de réflexions et de paroles singulières inscrites au coeur d'une pluralité de discours. Les relations images/textes prennent certes différentes formes et sont sans aucun doute déterminantes pour la conceptualisation et la définition de la littérature. Mais encore faut-il s'interroger sur les possibles définitions d'un si vaste terme. À cet égard, Philippe Hamon, dans sa conférence « Hypotyposes : que voit-on ? », rappelle qu'une image est « analogique, continue, non uniquement conventionnelle, juxtaposée dans ses parties constitutives [...], susceptible d'échelles et de degrés (de ressemblance) avec l'objet référentiel », en plus d'être composite et complexe. Il identifie alors trois types d'images qui se concurrencent dans leurs usages littéraires : l'image mentale (ce que, rappelle-t-il, Jean-Paul Sartre appelle « la conscience imageante »), l'image à lire (résultant du travail rhétorique) et l'image à voir (témoignant d'une forte visualité, comme les tableaux ou les photographies). Cette dernière catégorie nous semble particulièrement porteuse lorsqu'il est question d'interroger les traitements et les usages des images chez les écrivaines et les écrivains de l'entre-deux-guerres, en France. Ces imagesà voir, telles que présentées dans les différents corpus étudiés par les autrices et auteurs de ce dossier, sont statiques (la photographie) ou en mouvement (le cinéma), provoquées par des procédés techniques les éloignant dès lors d'une conception classique de l'art. Fortement associées à la modernité, elles conduisent à l'apparition de nouvelles formes discursives manifestant un dialogue et, parfois, une certaine porosité entre le visuel et le textuel. Elles permettent alors d'interroger le littéraire, de repenser les potentialités associées à leur mise en texte, d'explorer les formes tout en en proposant de nouvelles qui restent mal définies. De nombreux travaux pointent l'incidence des images photographiques ou cinématographiques sur le roman et le récit autobiographique des xxe et xxie siècles. D'autres s'attardent à leur influence dans la poésie moderne. Le concept de « photolittérature », défini par Jean-Pierre Montier comme « l'ensemble des conjonctions qui [...] ont noué la production littéraire avec l'image photographique, les processus de fabrication spécifiques qui la caractérisent et les valeurs [...] qu'elle infère » est aussi fertile pour repenser les rapports entre image et texte, et ouvrir ces réflexions sur des oeuvres et des imaginaires hybrides. Mais peu d'études s'intéressent à ce que des écrivains peuvent dire de ces relations, et surtout, à la manière dont ces derniers traitent le sujet dans la fiction ou dans l'essai, de surcroît, à une époque de grands bouleversements (les années 1920-1930) quant à la place, notamment, des images ...
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Nuit blanche, magazine littéraire. No. 150, Printemps 2018
Suzanne Leclerc, Alain Lessard, Francois Ouellet, Yvon Pare, Paul Kawczak, Patrick Guay, Andreanne R. Gagne, Elyse Laber
- Nuit blanche, le magazine du livre
- 31 Août 2018
- 9782924611111
Panoramas et analyses fouillées, voix émergentes et écrivains confirmés, (re) découvertes et textes de création, la revue Nuit blanche présente dans son numéro printanier le premier dossier de la série « Vie littéraire et imaginaire... » qui explorera chaque fois une région différente sous la loupe de sa littérature. Pour cette première, c'est du Saguenay-Lac-Saint-Jean qu'il est question et de ses territoires forestiers, maritimes ou urbains que les auteurs s'approprient et dont ils forgent l'imaginaire. Retrouvez aussi dans ce numéro Le Lactume de Réjean Ducharme, le regard tantôt caustique, tantôt amusé du poète Paul Bossé sur la société acadienne, Les pieds dans la mousse de caribou, la tête dans le cosmos de Jean-Yves Soucy : ouvrage en forme de bilan publié en février dernier à titre posthume et l'oeuvre de David Treuer, le « conteur ojibwé ».
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Nuit blanche, magazine littéraire. No. 151, Été 2018
Suzanne Leclerc, Alain Lessard, Gabriel Marcoux-Chabot, Sophie Gagnon-Bergeron, Francois Ouellet, David Laporte, Patric
- Nuit blanche, le magazine du livre
- 31 Août 2018
- 9782924611128
La revue Nuit blanche vous invite à (re)découvrir La Scouine, roman anti-terroir d'Albert Laberge, tel que revu et réécrit 100 ans plus tard par Gabriel Marcoux-Chabot. L'auteur expose sa démarche, extraits à l'appui, et François Ouellet offre un commentaire critique de cette relecture. Ce numéro estival invite aussi à lire ou relire Margaret Atwood dont le succès, après 60 ans de carrière et dans la foulée de la portée au petit écran de La servante écarlate, ne se dément pas. Il est aussi question de l'ouvrage de vulgarisation scientifique de Siddharta Mukherjee Il était une fois le gêne, d'auteurs à découvrir : le français Hervé Bel, puis Laurent Lussier et Éric Mathieu, publiés à La Mèche, ainsi que d'un portrait de l'écrivaine franco-ontarienne Andrée Christensen. Retrouvez également un large éventail de commentaires de lecture en fiction, en poésie et en essai, et qui sait, peut-être y dénicherez-vous le livre parfait pour accompagner votre été !
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Nuit blanche, magazine littéraire. No. 172, Automne 2023
Kateri Lemmens, Jean-Paul Beaumier, Rene Bolduc, Michel Giguere, Frederique Dube, Eric Chacour, Francois Ouellet, David
- Nuit blanche, le magazine du livre
- 30 Octobre 2023
- 9782924611555
« Pour saluer Milan Kundera », le 172e numéro de Nuit blanche propose de revisiter l'oeuvre du grand écrivain d'origine tchécoslovaque décédé en juillet 2023. Par Kateri Lemmens, Jean-Paul Beaumier, René Bolduc et avec la collaboration de l'illustrateur Stéphane Lemardelé. En complément, une incursion dans le monde de la BD tchèque avec Michel Giguère.
L'ailleurs, le voyage, l'apprentissage de soi et du monde... Et si l'attrait pour l'ailleurs dans les fictions d'ici n'était pas aussi récent qu'on peut le croire ? Dominique Garand et Pierre Rajotte examinent la question dans « Pour une relecture des fictions voyageuses québécoises ».
Connaissez-vous COLiN ? Lancé en 2023, le Catalogue des oeuvres littéraires numériques a pour vocation principale de conserver les traces des diverses pratiques en arts littéraires numériques québécois. Immersion dans le monde de la littérature numérique, encore peu connu du grand public, avec Frédérique Dubé qui s'est entretenue avec René Audet. -
Emmanuel bove contexte references et ecriture
François Ouellet
- Éditions Nota bene
- 31 Octobre 2011
- 9782895183938
En 2002, les Éditions Nota bene publiaient le roman Mes amis d'Emmanuel Bove. François Ouellet en faisait la présentation. Deux réimpressions plus tard, le préfacier se mue en essayste et propose un superbe texte sur l'un des écrivains français méconnus à son époque qui suscite, soixante ans plus tard, le plus d'intérêt auprès des lecteurs d'aujourd'hui
C'est tout le mérite du travail entrepris par François Ouellet, depuis plusieurs années maintenant, puisque, après son essai D'un dieu l'autre, il nous propose aujourd'hui ce nouveau livre sur Emmanuel Bove, lequel a, au moins, deux qualités : revenir de façon plus précise, plus complète également, sur des thèses avancées naguère et considérer d'un point de vue plus englobant la situation de l'écrivain dans l'histoire de la littérature. Pour ce faire, François Ouellet a fait siennes les méthodes les plus pertinentes de la critique littéraire, depuis l'étude des sources, heureusement remise à l'honneur de nos jours, jusqu'à la lecture psychanalytique des textes, injustement décriée parfois, en passant par diverses analyses fondées sur la stylistique, la narratologie ou la phénoménologie ; que l'on ne s'y trompe pourtant pas, il n'y pas là dispersion mais, comme il le dit lui-même, souci d'« ouverture » dans un esprit proche d'Umberto Eco, qui a voulu voir dans toute entreprise littéraire une « oeuvre ouverte »
(extrait de la préface de Bruno Curatolo). -
La matière des mots : entretiens avec Hans-Jürgen Greif
François Ouellet
- Éditions Nota bene
- Palabres
- 14 Avril 2021
- 9782895187592
Né en Allemagne, Hans-Jürgen Greif émigre à Québec en 1969, où il a accepté un emploi de professeur à l'Université Laval. Il y enseigne jusqu'en 2004. Essayiste, puis nouvelliste et romancier, il fait paraître un premier livre en français en 1990, L'autre Pandore. C'est le point de départ d'une oeuvre de fiction dont le titre le plus récent, Insoumissions (2020), est le seizième ouvrage.
Dans les entretiens de La matière des mots, menés avec François Ouellet au cours de l'été 2019, l'écrivain revient sur son parcours littéraire, aborde chacun de ses livres, partage sa vision de la littérature, rappelle ses études universitaires ainsi que le milieu familial et social dans lequel il a grandi. L'ensemble des propos, sensible et généreux, jette un éclairage inspirant sur une oeuvre singulière de la littérature québécoise contemporaine. -
Les écrits. No. 149, Avril 2017
André Major, Pierre Ouellet, Domingo Cisneros, Pierre Senges, Hélène Frédérick, Guillaume Asselin, Francois Gagnon
- Les écrits de l´Académie des lettres du Québec
- 6 Avril 2017
- 9782924558218
« Ce numéro de la revue Les écrits regroupe les signatures de vingt-cinq écrivains, poètes ou prosateurs, du Québec et de l'étranger, d'André Major à Guillaume Asselin, de Pierre Senges à Gérard Cartier, de Roger Des Roches à Larry Tremblay. Un dossier « Vies sauvages », dirigé par Pierre Ouellet, réunit une douzaine de contributions autour du thème de la sauvagerie, où l'on trouve autant de bien que d'âpreté, de beauté que de férocité, et où règnent les formes de vie les plus attirantes et les plus terrifiantes à la fois. Comme une fenêtre ouverte sur la poésie slovène contemporaine, un second dossier intitulé « Suite slovène » présente les textes, réunis par Marie-André Lamontagne, de quatre poètes slovènes et leurs traductions - en français, en anglais et même en langue innue -, réalisées par des poètes québécois et canadiens qui ont séjourné là-bas. Enfin, dans les chroniques Exlibris, Krisis et Ekphrasis, Émile Martel revient sur son parcours de lecteur, Monique Deland présente le dernier recueil de Louise Dupré et Rober Racine rend hommage à l'artiste Mercedes Font, à qui le portfolio du numéro est consacré.
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Continuité. No. 159, Hiver 2019
Josiane Ouellet, Claude Ferland, Nathalie Richard, Jeanne Corriveau, Jean-Francois Leclerc, Benoit-Beaudry Gourd, Valer
- Éditions Continuité
- 7 Février 2019
- 9782922527728
Les préoccupations patrimoniales ne visent pas à cristalliser les legs du passé ou à figer l'identité, mais permettent plutôt de souligner le dynamisme de notre héritage collectif, nourri entre autres par l'apport des diverses communautés culturelles. Leur contribution demeure toutefois méconnue et c'est pourquoi la revue Continuité y consacre son numéro hivernal. Si nous avons intérêt à découvrir l'apport des immigrants à notre patrimoine, eux-mêmes ont à gagner à s'intéresser à celui de leur société d'accueil. Robinson Ngametche (en couverture), concepteur du parcours « Découvrir ma cité », est du nombre de ceux qui travaillent à familiariser les nouveaux arrivants au patrimoine québécois. Aussi au sommaire, l'évolution du style des maisons curiales québécoises, la restauration de l'oeuvre d'art public L'homme d'Alexander Calder, les églises protestantes ou « mitaines » recyclées de Québec, et un aperçu des travaux de la Table de concertation en patrimoine de la danse initiée par le Regroupement québécois de la danse.
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Continuité. No. 158, Automne 2018
Josiane Ouellet, Francois Varin, Audrey Julien, Pierre Lahoud, Martin Drouin, Valerie Gaudreau, Jeanne Corriveau, Mél
- Éditions Continuité
- 15 Novembre 2018
- 9782922527704
À l'heure de l'urbanisme participatif et tactique, le dossier du numéro d'automne de la revue Continuité se penche sur les liens entre patrimoine et participation citoyenne. Le magazine explore le rôle que chacun peut jouer dans la préservation de notre héritage collectif et de la qualité de nos milieux de vie, mais aussi, sur la manière d'amener monsieur et madame Tout-le-monde à passer à l'action. Car, en patrimoine, la participation citoyenne prend diverses formes : une communauté se mobilise pour sauver un bâtiment qui lui tient à coeur ou pour dénoncer un projet qu'elle juge inapproprié, des gens s'impliquent dans un processus de consultation publique ou un projet de codesign, des voisins décident d'animer un espace vacant de leur quartier. Dans les autres rubriques, découvrez des faits surprenants de l'histoire des Augustines de l'Hôpital général de Québec et voyez comment une rare harpe-cithare a été restaurée.
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L'oeuvre de Daniel Poliquin s'impose actuellement comme l'une des plus remarquées au Québec et au Canada. Signe du haut profil de l'auteur, la liste impressionnante des prix littéraires remportés, la traduction systématique de ses romans vers l'anglais et, en 2006, la consécration de son oeuvre dans le cadre d'un colloque universitaire.
«Lire Poliquin» réunit les articles des treize chercheurs réputés qui ont participé à ce colloque, dont François Paré, Robert Yergeau, Lucie Hotte, Jean Morency et François Ouellet, le directeur de cet ouvrage. Entre autres, ils ont scruté le fonctionnement narratif des textes, abordé la construction identitaire des personnages et examiné l'attention accordée à l'oeuvre au Québec. L'ouvrage contient également l'allocution prononcée par Daniel Poliquin lui-même lors de la rencontre et un état des recherches sur l'oeuvre de Poliquin. -
Au volant de son taxi, le chauffeur se confie à son client: son métier n'est plus du tout ce qu'il était. Alors qu'il y a à peine dix ans, son taxi avait à son bord un passager payant le tiers du temps, les clients se font aujourd'hui de plus en plus rares. ''Uber nous rentre dedans! dit-il. Nous, on ne peut jamais savoir où seront les prochains clients et on travaille pour des miettes.'' Son passager, l'entrepreneur Alexandre Taillefer, l'écoute avec intérêt. Arrivé devant ses bureaux, il lui fait cette promesse: '' Monsieur, je pense que votre vie va changer! '' Ainsi est née Téo Taxi, l'entreprise ambitieuse et visionnaire qui aspirait à révolutionner l'industrie du taxi grâce à l'intelligence artificielle, aux voitures électriques et à une rémunération décente de ses chauffeurs. Ce livre raconte l'échec d'un projet d'affaires. Celui d'une équipe d'entrepreneurs et de gens d'affaires optimistes mais mal focalisés; celui de la culture du taxi à Montréal, qui n'a pas voulu évoluer malgré la pression et l'invasion d'Uber ; et celui de la Commission des transports du Québec et des grands investisseurs institutionnels québécois, qui n'ont pas soutenu le projet et qui doivent en tirer des enseignements.