Nantes, 1720. La Bretagne menace de faire sécession. Dans ce contexte d'effervescence, Jean de Couëdic, quatorze ans, est enfermé dans un cachot de la prison de Nantes pour s'être opposé à un soldat du roi. Là, il fait la connaissance de la fille adoptive du geôlier. Un soir, ils s'évadent tous les deux et rejoignent à la nage un bateau anglais en partance pour l'Amérique.
Alors qu'il tenait ses rêves à portée de main, Bilal voit tout s'écrouler suite au vol d'un supermarché qui l'obligera à faire des choix décisifs.
En ce tranquille dimanche matin, Bilal savoure sa réussite : enfin riche, il tient ses rêves à portée de main.
Tandis que le quartier se réveille lentement, les conversations s'entremêlent par les fenêtres ouvertes. Entre incrédulité et admiration, la nouvelle se répand : le supermarché a été braqué.
D'abord entouré des siens et protégé par la loi du silence, Bilal est loin d'imaginer à quel point ce vol va bouleverser l'ordre des choses. Entre les victimes qui crient justice, les policiers qui se rapprochent, et la cité qui réclame son dû, le jeune homme va devoir faire des choix. Et en assumer les conséquences.
Au fil des pages, se dévoile la face cachée d'un fait divers.
Découvrez, dans les pages de ce roman à suspense, comment chaque fait divers recèle une part d'ombre bien cachée.
EXTRAIT
L'agent de sécurité était l'un des derniers à son poste de travail. Il se concentrait sur sa tâche, les yeux rivés aux écrans de contrôle qui affichaient en alternance le parking, les rayons de vente et la zone de stockage à l'arrière du magasin. Il suivait inlassablement du regard la danse aléatoire des images vaguement colorées et un peu floues.
Deux hommes avaient pourtant échappé à sa vigilance. Ils avaient traversé la réserve et se trouvaient désormais hors du champ des caméras.
Les intrus, plaqués contre le mur du couloir, étaient parfaitement silencieux. Ils portaient des cagoules et des gants. Évidemment, ils avaient chaud, étouffés par un blouson et trois couches de pantalons. Ils échangeaient parfois un bref coup d'oeil pour se réconforter ; la présence de l'autre interdisait de renoncer. Ils luttaient contre la peur qui s'insinuait, déguisée en frissons douloureux ou en crampes glacées. Grâce aux cagoules, les rictus qui défiguraient leur visage restaient invisibles, préservant leur fierté. Les doigts crispés sur la crosse, ces individus tenaient fébrilement des Sig Sauer identiques à ceux utilisés par la police, sous la réserve qu'il s'agissait de copies bulgares. Même s'ils n'avaient pas l'intention de s'en servir, les pistolets étaient chargés pour parer à toute éventualité. Avec eux régnait un sentiment de puissance qui donnait l'illusion d'écarter la peur.
Ces hommes guettaient le moindre son, le plus petit mouvement. Même les odeurs étaient suspectes. Ils se taisaient, à l'affût. Le silence, pourtant témoin de leur tranquillité, pouvait à tout moment révéler une menace. Complice involontaire, il les oppressait davantage.
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D'après la version officielle, bien qu'on ne sache toujours pas sa véritable nature, ni son origine, la Lune est le satellite naturel de la planète Terre.
Mais certains scientifiques mettent en doute la notion même de satellite naturel, et argumentent au contraire que la Lune soit en fait une construction. Leurs arguments sont solides, malgré tout ils sont balayés d'un revers de main par les tenants de la version officielle.
À défaut de pouvoir se rendre sur place afin de constater de visu et de trancher une bonne fois sur cette question, le présent ouvrage s'appuie sur un examen approfondi de clichés lunaires. Il s'agit avant tout de captures faites à partir d'applications mises à la disposition du public par l'Agence spatiale européenne (ESA), la National Aeronautics and Space Administration (NASA). De manière générale avec Google Earth en mode Lune. Mais aussi grâce à l'administration spatiale nationale chinoise (CNSA) et son programme d'exploration de la Lune Chang'e, etc.
Ce que révèle l'ouvrage soulève d'autres interrogations :
Comment la Lune est-elle arrivée où elle est ?
Quel est le lien entre la Lune et les mythes sumériens ?
Se pourrait-il que la Lune soit artificielle ?
Qui en seraient les concepteurs ?
Auraient-ils placé des vaisseaux-lune autour d'autres planètes ?
Enfin, que ce soit les textes antiques, d'incroyables révélations, ou la vision « érodée » des sondes et rovers des agences spatiales, tous convergent vers une actuelle présence humaine sur la Lune. Tous vont vers le même sens :
Mars, la Terre, et sans doute le système solaire dans son ensemble, seraient les enjeux d'une domination intemporelle.
Chris Lesage, professeur d'archéologie reconverti en enquêteur privé, se retrouve entraîné malgré lui dans la plus grande dissimulation de tous les temps.
Des signes dans les champs et des témoins assassinés d'une façon horrible et peu commune semblent être reliés au Vatican.
Les Égyptiens de l'Antiquité l'appelaient Her Descher « la rouge ».
Il fut le Dieu de la guerre dans la Rome antique.
Les Grecs anciens lui donnaient le nom d'Arès.
Chez les Indiens, il est Mauors.
Mais pour notre civilisation actuelle, c'est la planète Mars et aussi notre deuxième Terre.
Mars, la planète rouge fascine les hommes depuis des millénaires et poser le pied sur son sol est un vieux rêve. Un rêve qui pourrait bien tourner au cauchemar.
Quel lien mystérieux relie la planète rouge à l'Égypte antique ?
Qui manoeuvre dans l'ombre de l'Agence Spatiale Européenne ?
Dans quel but ? Pour protéger quels secrets ?
Quels dangers guettent les hommes ?
Au final, Mars ne serait peut-être pas ce monde prétendu aride et dépourvu de vie.
Le professeur Chris Lesage et l'agent Tania Anderson n'auront pas le temps de profiter de leurs retrouvailles. Le couple va se retrouver propulsé en plein coeur d'une guerre des mondes.
Des auteurs comme l'assyriologue Zecharia Sitchin, nous livrent leurs interprétations des tablettes sumériennes. Ces textes feraient intervenir des êtres appelés Anunnaki « ceux qui du ciel vinrent sur terre », et les Igigi « les veilleurs», astronautes dont la base se trouverait sur Mars. Pour la science officielle, il ne s'agirait que de légendes. Pourtant ces mythes entreraient en corrélation avec les résultats de chercheurs dans des domaines aussi divers que l'archéologie, la géologie, la génétique ou la biologie. Il serait paradoxal que ce soit ces mêmes scientifiques qui, par l'intermédiaire des clichés de la NASA, apporteraient des indices probants entre une antique civilisation sur Mars et la nôtre. Certains clichés de Mars prouveraient que ces mythes se révèlent réels et que « L'Histoire commence sur Mars » !
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L'Homme se glorifie volontiers d'occuper le sommet de la chaîne alimentaire. Sur Terre, il est le super prédateur. Pourtant, suivant les Lois qui régissent l'Univers, la hiérarchie de la sélection naturelle pourrait bien dépasser la sphère terrestre, pour s'étendre à l'ensemble du Système solaire, et au Cosmos.
Les archives de la Mésopotamie de 6000 ans d'âge constituent les écritures les plus anciennes. Si des spécialistes en interprétation de textes anciens ne sont pas toujours d'accord, ils se rejoignent sur un point : Les tablettes sumériennes décrivent des événements qui se sont produits sur Terre y a 450 000 ans et des bouleversements au sein du Système solaire remontant à des millions d'années. Elles relatent des faits historiques faisant intervenir une civilisation extraterrestre de type reptilien à l'origine de l'humanité. Il s'agit bien sûr des fameux Anunnaki « Ceux qui du ciel vinrent sur terre ».
Cet ouvrage a pour but de valider, ou non cette hypothèse. Pour cela, il s'appuie essentiellement sur l'examen et l'amélioration de clichés pris par les sondes lors des diverses missions spatiales. C'est un voyage à travers le Système solaire. Si ce qu'on y rencontre est bien la réalité, alors cela nous ferait prendre conscience de l'avertissement transmis par les anciennes civilisations à travers des récits, écritures figuratives ou cunéiformes :
« Les Anunnaki-reptiliens dominent l'ensemble du Système solaire depuis des temps immémoriaux.
Ils sont toujours sur terre et nous gouvernent.
C'est une race de prédateurs cosmiques ! »
L'Histoire commence sur Mars - La Guerre est une réédition améliorée de « La Guerre commence sur Mars ».
L'évocation d'un commencement à l'histoire de la Terre mettrait en scène des entités qui auraient eu leur base sur Mars. Les Anunnaki selon Zecharia Sitchin, les Anunna d'après Anton Parks. Les traductions des écrits sumériens par ces assyriologues ne seraient pas les seuls à trouver un écho dans les clichés de la planète rouge postés par la NASA. En effet, depuis peu des révélations et des témoignages à propos d'une présence humaine sur Mars compliquent une situation, déjà opaque, impliquant l'érosion martienne et la paréidolie humaine. Bien que cela semble relever de la science-fiction, c'est encore une fois la NASA qui nous met sur la voie par l'intermédiaire de ses robots. Non seulement les clichés pourraient donner du sens aux récits les plus fous, mais ils accréditeraient une incroyable réalité mettant en jeu des forces armées sur Mars. Un conflit qui se jouerait actuellement aussi sur Terre à travers la destruction de notre patrimoine culturel et historique.
Une guerre qui prendrait ses racines sur Mars !
L'Histoire commence sur Mars - Origines est une réédition améliorée de « L'Histoire commence sur Mars ».
Des auteurs comme l'assyriologue Zecharia Sitchin, nous livrent leurs interprétations des tablettes sumériennes. Ces textes feraient intervenir des êtres appelés Anunnaki « ceux qui du ciel vinrent sur terre », et les Igigi « Les veilleurs », astronautes dont la base se trouverait sur Mars. Pour la science officielle, il ne s'agirait que de légendes. Pourtant ces mythes entreraient en corrélation avec les résultats de chercheurs dans des domaines aussi divers que l'archéologie, la géologie, la génétique ou la biologie.
Il serait paradoxal que ce soit ces mêmes scientifiques qui, par l'intermédiaire des clichés de la NASA, apporteraient des indices probants entre une antique civilisation sur Mars et la nôtre. De plus, certains clichés de Mars tendraient à prouver que ces mythes se révèlent réels et que l'Histoire de l'humanité trouve ses origines sur Mars.
L'Histoire commence sur Mars - La Vie est une réédition améliorée de « La Vie commence sur Mars ». L'érosion martienne ne se contente pas de mimer des édifices et autres statuts, mais bien de « reproduire des formes rappelant la vie » ! Ce livre pose la question de la possibilité d'une vie en dehors de la Terre. Que nous montre la NASA, de simples illusions rocheuses ou alors une vie sur Mars ? Alors que de récentes études démontrent même que la vie sur Terre aurait pour origine la planète Mars. Dans l'hypothèse « improbable » d'une vie passée, cette vie serait-elle toujours d'actualité ? Enfin, se pourrait-il que la vie sur Terre ait commencé sur Mars ? Des clichés qui rejoignent les textes antiques parlant de vie entre Mars et la Terre.
Au début du XXIIe siècle, les réserves naturelles de la Terre s'étaient raréfiées à tel point, que même l'extraction minière des astéroïdes s'avérait insuffisante. Alors que les chances de sauver la civilisation s'amenuisaient, une perspective de survie émergea de l'exploration de Vénus. D'antiques et gigantesques machines motrices abandonnées à sa surface. Lorsqu'on comprit leurs véritables fonctions, elles prirent le nom de MANDUCARE.
Cette découverte aussi incroyable qu'improbable, relança l'industrie minière en l'obligeant à s'adapter à une technologie extraterrestre. Des équipes de mineurs furent recrutées pour être envoyées sur Vénus à l'entretien des manducares.
Mais l'opportunité d'avoir accès aux richesses du sous-sol de Vénus attisa complots et convoitises.
Au-delà des conditions infernales, l'exploitation de Vénus par les manducares promettait d'autres surprises bien plus terribles encore.
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Selon la position de la science officielle, l'existence d'autres civilisations dans l'Univers reste toujours improbable. Et ceux malgré les découvertes toujours plus nombreuses d'exoplanètes semblables à la Terre. D'autres scientifiques pensent au contraire que la vie dans l'Univers est un processus commun découlant des lois naturelles. Certains vont encore plus loin, n'hésitant pas à avancer l'existence de civilisations extraterrestres supérieures à la nôtre, dont au moins une, établie depuis longtemps dans notre système solaire.
Mais au vu des découvertes de mégastructures que l'on rencontre aux confins de la Galaxie, dont on retrouve des captures dans cet ouvrage, la vérité pourrait être bien plus inquiétante : le Système solaire serait un enclos dépendant d'une sphère de Dyson extraterrestre, et nos gouvernements contrôlés par une civilisation dominante !
Sommes-nous véritablement les pensionnaires d'un zoo planétaire ?
Ou pire encore, des esclaves dans une prison cosmique ?
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Quatre volets d'ouvrages visuels en couleurs réunis qui lèvent le voile sur les arcanes de Mars.
Que cache Mars ?
Des vestiges d'une civilisation disparue ?
Des cités habitées et d'autres détruites ?
Les stigmates d'un conflit armé issu d'un programme spatial secret ?
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MARS GÉNESIS et une réédition améliorée et en couleur de L'Histoire commence sur Mars - La Vie
Avec « L'Histoire commence sur Mars », les clichés des agences spatiales, et dans une plus grande mesure ceux postés par la NASA, entrent en résonnance avec les écrits antiques, les tablettes sumériennes décrivant des légendes où des extraterrestres appelés Anunnaki et Igigi sur Mars, seraient à l'origine de nos civilisations. Dans ce présent ouvrage, l'oeuvre de l'érosion martienne ne se contente plus de mimer des édifices et autres statuts, mais bien de « reproduire des formes rappelant la vie » ! Et là encore ces clichés rejoignent les textes antiques parlant de vie entre Mars et la Terre. Ici la science permet de relier, l'oeuvre d'auteurs comme Anton Parks, ou Zecharia Sitchin à certains clichés des sondes et rovers sillonnant la surface de la planète rouge.
Ce livre pose la question de la possibilité d'une vie en dehors de la Terre. Que nous montre la NASA, de simples illusions rocheuses ou alors une vie sur Mars ? Alors que de récentes études démontrent même que la vie sur Terre aurait pour origine la planète Mars. Et dans l'hypothèse « improbable » d'une vie passée, cette vie serait-elle toujours d'actualité ? Enfin, se pourrait-il qu'à l'instar de la Terre, la planète Mars aurait eu une genèse de la vie ».
Ouvrage couleur.
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Le pillage des ressources du Système solaire a déjà eu lieu !
Les décrets successifs promulgués par les États-Unis, SPACE Act acté en 2015, Encouraging International Support for the Recovery and Use of Space Resources signé en 2020, ou encore la loi du Luxembourg autorisant l'exploitation et l'utilisation des ressources spatiales entrée en vigueur le 1er août 2017. Toutes ces proclamations, qui balaient d'un revers de main l'Outer Space Treaty, le Traité de l'espace établi en 1967 sous l'égide des Nations Unies, ne serait que de la poudre aux yeux. Une duperie à l'échelle de la planète. Élaborée depuis des années par un conglomérat d'industriels, cette stratégie aurait pour but de persuader la population mondiale que l'exploitation de l'espace n'en est qu'à ses balbutiements. Une manoeuvre payante, puisqu'à l'insu de tous, elle aurait abouti à l'émergence d'un véritable « Empire Minier Exogène » !
Pour arriver à cette terrible conclusion, nous passerons en revue divers clichés comprenant astéroïdes, comètes, lunes, planétoïdes et planètes. Bien que le choix des astres soit limité par les photographies mises à la disposition du public, nous ferons des découvertes fantastiques, comme débusquer de la vie là où on nous dit qu'elle est impossible, mais aussi terrifiantes avec des mondes agonisants, évidés de leurs substances minières.
Dès le plus jeune âge, Julie a été initiée au désamour par sa mère, qui lui enseignait méthodiquement quelles caresses lui administrer en l'absence de ses amants.
Amoureuse d'une jeune femme dont elle rêve d'être la victime mais sur qui elle venge sa frustration du grand amour, Julie aide à domicile de petites vieilles qu'elle adore au point de les accompagner, avec une tendresse presque insoutenable, jusqu'à la mort.
Cohabitant tour à tour avec son immense désir d'amour et ses révoltes d'enfant bafouée et d'homosexuelle cachée, au coeur d'une Suisse provinciale conservatrice mais pourtant animale, elle erre de souvenirs obsédants en meurtres expiatoires.
« Je m'appelle Clara Grand, j'ai vingt-sept ans et je crois en Dieu. Même plus: je crois en Dieu et j'ai l'angoisse de Le perdre. J'aime la couleur. Le kitsch, surtout. Ça ne me ressemble pourtant pas. Enfin pas à celle que je suis. A l'autre? A celle qui est devenue moi? Assurément. Elle est gaie, joviale, féminine. Moi, Clara, je suis boulimique.
Je m'appelle Clara Grand, j'ai vingt-sept ans et j'aime Frédéric. Même âge. Lui, Frédéric, il est anorexique.
Presque toujours, quand j'ai trop bouffé, je me fais vomir. Quand je me sens sale, je me fais jouir. Et Dieu me regarde. »
With the analysis of the best scholars on this era, 29 essays demonstrate how academics then and now have addressed the political, economic, diplomatic, cultural, ethnic, and social history of the presidents of the Republican Era of 1921-1933 - Harding, Coolidge, and Hoover. This is the first historiographical treatment of a long-neglected period, ranging from early treatments to the most recent scholarship Features review essays on the era, including the legacy of progressivism in an age of "normalcy", the history of American foreign relations after World War I, and race relations in the 1920s, as well as coverage of the three presidential elections and a thorough treatment of the causes and consequences of the Great Depression An introduction by the editor provides an overview of the issues, background and historical problems of the time, and the personalities at play
Language and Muslim Immigrant Childhoods Documenting the everyday lives of Moroccan immigrant children in Spain, this in-depth study considers how its subjects navigate the social and political landscapes of family, neighborhood peer groups, and the institutions of their adopted country. García-Sánchez compels us to rethink theories of language and racialization by offering a linguistic anthropological approach that illuminates the politics of childhood in Spain's growing communities of migrants. The author demonstrates that these Moroccan children walk a tightrope between sameness and difference, simultaneously participating in the cultural life of their immigrant community and that of a "host" society that is deeply ambivalent about contemporary migratory trends. The author evaluates the contemporary state of research on immigrant children and explores the dialectical relations between young Moroccan immigrants' everyday social interactions, and the broader cultural logic and socio-political discourses arising from integration and inclusion of the Muslim communities. Her work focuses in particular on children's modes of communication with teachers, peers, family members, friends, doctors, and religious figures in a society where Muslim immigrants are subject to increasing state surveillance. The project underscores the central relevance of studying immigrant children's day-to-day experience and linguistic praxis in tracing how the forces at work in transnational, diasporic settings have an impact on their sense of belonging, charting the links between the immediate contexts of their daily lives and their emerging processes of identification.
Dirigé par Raymond Bertin, le dossier de ce numéro est consacré au vivre ensemble. La récurrence de ce néologisme, au goût du jour, à la fois progressiste et conservateur, nous a amenés à nous interroger sur sa signification au théâtre. Les textes portent notamment sur Anaïs Barbeau-Lavalette et Émile Proulx-Cloutier, le Théâtre du Futur, Lara Kramer et Thomas Ostermeier. Hors dossier, il est entre autres question du concepteur sonore Antoine Bédard, de la chorégraphe Dada Masilo et du metteur en scène David Bobée.
Ils se disent être nos "Dieux"
Mais ces dieux-là n'ont rien d'humains
Enlèvements, meurtres, mutilations.
Les dieux chercheraient-ils à asservir l'humanité ?
Après avoir affronté les démons du Vatican, l'archéologue Chris Lesage et l'agent secret Tania Anderson se retrouvent pris dans une sombre machination mettant à mal certaines vérités sur nos origines, bousculant ainsi les thèses officielles concernant l'évolution du genre humain.
C'est un souffle rendu texte qu'As Malick Ndiaye nous propose ici. En le suivant dans sa pérégrination tangéroise, on halète, on suspend son souffle, on respire aussi. L'atmosphère peut n'être pas respirable dans les villes réputées « à atmosphère ». Le nom de « Tanger » est un nom qu'on ne fait pas répéter, mais avec lequel on se plaît, à l'évocation de la ville qu'il désigne, à se laisser bercer et à rêver. Mais, comme l'on sait, il y a loin du rêve à la réalité. On peut se demander si le discours officiel ne tire sa force que de ce qu'il masque : amitié légendaire entre le Maroc et le Sénégal, contacts séculaires, etc. Ce n'est pas de ce côté historique et politique que s'oriente l'essai d'As Malick Ndiaye. Il ose aborder la difficile question des mentalités et de la conscience collective à partir de quelques flashs saisis à Tanger lors de son séjour estival.
Using a series of case studies, the book demonstrates the power of dynamic analysis as applied to the fossil record. The book considers how we think about certain types of paleontological questions and shows how to answer them. The analytical tools presented here will have wide application to other fields of knowledge; as such the book represents a major contribution to the deployment of modern scientific method as it builds on author's previous book, Dynamic Paleontology. Students and seasoned professionals alike will find this book to be of great utility for refining their approach to their ongoing and future research projects.
This book is devoted to studies of unsteady heat and mass exchange processes taking into account thermochemical destruction of thermal protective materials, research of transpiration cooling systems, thermal protection of composite materials exposed to low-energy disturbances, as well as the numerical solution of heat and mass transfer of the exchange. It proposes several mathematical models of passive and active thermal protection systems with regard to factors such as surface ablation, surface roughness, phase transition of a liquid in porous materials, rotation of the body around its longitudinal axis, and exposure to low-energy disturbances. The author studies the possibilities to control thermochemical destruction and heat mass exchange processes in transpiration cooling systems exposed to low-energy disturbances. The numerical analysis of the heat and mass exchange process in carbon plastics under repeated impulse action is also presented. The numerical solutions of problems are compared with the known experimental data. The book is intended for specialists in the field of thermal protection and heat mass exchange, as well as graduate and undergraduates in physics and mathematics.